• Conseillé par
    21 janvier 2013

    Chronique

    Ecosse, 1743.

    Après 15 ans passés en Italie, Joseph Callander est de retour sur sa terre natale. Le pays est en proie à des révoltes jacobites contre la couronne d’Angleterre. Mais Joseph n’en a cure, il n’aspire qu’à une chose: vivre de son art, la peinture.

    De manière fortuite, Joseph assiste à la tentative de rapt d’Amélia par des caterans (terme qui désignait des pillards vivant dans les Highlands). Il s’interpose et sauve la ravissante jeune femme qui n’est autre que la fille du Duc de Plaxton.

    Ce dernier va marier sa fille à un jeune noble anglais et cherche donc un portraitiste pour immortaliser la future épouse. Joseph accepte volontiers de réaliser le portrait d’Amélia.

    Cette alliance n’est pas du goût de tous, à commencer par le fils du Duc qui met fièrement en avant ses origines écossaises, quitte à froisser les parents du futur gendre.

    En réalisant ce portrait, Joseph devient la proie d’une machination dont les enjeux pourraient être liés aux révoltes contre l’envahisseur britannique. Mais Joseph n’est pas un artiste chétif et frêle et il pourrait se révéler un adversaire coriace. Il va devoir désormais lutter pour laver son honneur et démasquer les responsables de la cabale.

    Philippe Aymond (dessinateur de Lady S) signe là la première partie d’un diptyque qui sort des sentiers battus. Il offre une prestation aboutie, d’autant plus qu’il réalise l’intégralité de l’album (scénario, dessin, couleurs). L’histoire met en scène des personnages hauts en couleur et forts en caractère comme la terre qui les abrite, le tout teinté d’un brin de ce mysticisme dont regorgent les contrées celtiques. Le trait réaliste et précis restitue l’époque et embrasse à merveille l’atmosphère du récit.

    Zahou.

    Lire la chronique illustrée : http://www.brestenbulle.fr/?p=8466


  • Conseillé par
    2 janvier 2013

    Chroniques

    Ecosse, 1743.

    Après 15 ans passés en Italie, Joseph Callander est de retour sur sa terre natale. Le pays est en proie à des révoltes jacobites contre la couronne d’Angleterre. Mais Joseph n’en a cure, il n’aspire qu’à une chose: vivre de son art, la peinture.

    De manière fortuite, Joseph assiste à la tentative de rapt d’Amélia par des caterans (terme qui désignait des pillards vivant dans les Highlands). Il s’interpose et sauve la ravissante jeune femme qui n’est autre que la fille du Duc de Plaxton.

    Ce dernier va marier sa fille à un jeune noble anglais et cherche donc un portraitiste pour immortaliser la future épouse. Joseph accepte volontiers de réaliser le portrait d’Amélia.

    Cette alliance n’est pas du goût de tous, à commencer par le fils du Duc qui met fièrement en avant ses origines écossaises, quitte à froisser les parents du futur gendre.

    En réalisant ce portrait, Joseph devient la proie d’une machination dont les enjeux pourraient être liés aux révoltes contre l’envahisseur britannique. Mais Joseph n’est pas un artiste chétif et frêle et il pourrait se révéler un adversaire coriace. Il va devoir désormais lutter pour laver son honneur et démasquer les responsables de la cabale.

    Philippe Aymond (dessinateur de Lady S) signe là la première partie d’un diptyque qui sort des sentiers battus. Il offre une prestation aboutie, d’autant plus qu’il réalise l’intégralité de l’album (scénario, dessin, couleurs). L’histoire met en scène des personnages hauts en couleur et forts en caractère comme la terre qui les abrite, le tout teinté d’un brin de ce mysticisme dont regorgent les contrées celtiques. Le trait réaliste et précis restitue l’époque et embrasse à merveille l’atmosphère du récit.

    Zahou

    Lire la chronique illustrée : http://www.brestenbulle.fr/?p=8466