- EAN13
- 9782130583967
- ISBN
- 978-2-13-058396-7
- Éditeur
- Presses universitaires de France
- Date de publication
- 09/2013
- Collection
- Quadrige
- Nombre de pages
- 808
- Dimensions
- 18,9 x 12,5 x 3,1 cm
- Poids
- 588 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 193
- Fiches UNIMARC
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Principes de la philosophie du droit
De Georg Wilhelm Friedrich Hegel
Presses universitaires de France
Quadrige
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Publiés en 1820 par Hegel, les Grundlinien der Philosophie des Rechts, ouvrage connu en France sous la dénomination de Principes de la Philosophie du Droit, sont une des oeuvres majeures de la philosophie juridique et politique moderne.
Sur la base d’une idée considérablement élargie du droit, correspondant à l’ensemble des manifestations de ce qu’il nomme « l’esprit objectif », Hegel expose successivement les structures du « droit abstrait » (qui correspond au droit privé), celles de la « moralité » (qui traite du rapport du sujet agissant aux normes morales), et enfin celles de « l’éthicité », notion qui désigne l’ensemble des configurations institutionnelles (famille, société civile, État) organisant l’agir des individus et des groupes sociaux dans le contexte de la modernité. L’étude de la « société civile », intégrant certains acquis de l’économie politique naissante, a exercé une profonde influence, en particulier sur Marx. L’étude de « l’État moderne » (post-révolutionnaire, constitutionnel) cherche à répondre à certaines des apories de la modernité ; elle se conclut par un examen de l’histoire universelle, que Hegel détaillera dans ses célèbres cours sur la philosophie de l’histoire.
Jean-François Kervégan, professeur à l’Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne, membre de l’Institut universitaire de France, est vice-président de l’Association internationale des études hégéliennes. Traduits dans de nombreuses langues, ses travaux sur Hegel, et en particulier sur sa philosophie du droit et sa philosophie politique, font autorité.
Sur la base d’une idée considérablement élargie du droit, correspondant à l’ensemble des manifestations de ce qu’il nomme « l’esprit objectif », Hegel expose successivement les structures du « droit abstrait » (qui correspond au droit privé), celles de la « moralité » (qui traite du rapport du sujet agissant aux normes morales), et enfin celles de « l’éthicité », notion qui désigne l’ensemble des configurations institutionnelles (famille, société civile, État) organisant l’agir des individus et des groupes sociaux dans le contexte de la modernité. L’étude de la « société civile », intégrant certains acquis de l’économie politique naissante, a exercé une profonde influence, en particulier sur Marx. L’étude de « l’État moderne » (post-révolutionnaire, constitutionnel) cherche à répondre à certaines des apories de la modernité ; elle se conclut par un examen de l’histoire universelle, que Hegel détaillera dans ses célèbres cours sur la philosophie de l’histoire.
Jean-François Kervégan, professeur à l’Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne, membre de l’Institut universitaire de France, est vice-président de l’Association internationale des études hégéliennes. Traduits dans de nombreuses langues, ses travaux sur Hegel, et en particulier sur sa philosophie du droit et sa philosophie politique, font autorité.
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