- EAN13
- 9782749944241
- Éditeur
- Michel Lafon
- Date de publication
- 26/03/2020
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Epidémies : vrais dangers et fausses alertes
Epidemies -Vrais Dangers Et Fausses.. [Nu
Didier Raoult
Michel Lafon
Autre version disponible
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Papier - Michel Lafon 12,00
De la grippe aviaire au Covid-19 - 3e édition mise à jour
Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus,
MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de
morts : il n'en a rien été.
Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui
sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques
– surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons
affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la
transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière
et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions,
brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail
ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques
réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.
Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus,
MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de
morts : il n'en a rien été.
Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui
sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques
– surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons
affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la
transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière
et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions,
brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail
ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques
réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.
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