Quand l'aluminium nous empoisonné
EAN13
9782353410989
ISBN
978-2-35341-098-9
Éditeur
Max Milo
Date de publication
Collection
Essais-documents
Nombre de pages
208
Dimensions
20,5 x 13,9 x 1,8 cm
Poids
249 g
Langue
français
Code dewey
615.925673
Fiches UNIMARC
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Quand l'aluminium nous empoisonné

De

Max Milo

Essais-documents

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Virginie belle, au terme d'une enquête de plusieurs années, livre UN DOSSIER EXPLOSIF SUR LA DANGEROSITE DE L'ALUMINIUM, VERITABLE BOMBE A RETARDEMENT D'UN SCANDALE SANITAIRE MONDIAL, PROCHE DE CELUI DE L'AMIANTE ET DU PLOMB. Omniprésent dans notre quotidien, l'aluminium, d'une toxicité édifiante, est à l'origine de nombreuses maladie graves et mortelles.
S
on enquête s'appuie sur les conclusions inédites, datée de 2010 des plus grands spécialistes de la santé : le Comité consultatif Mondial de l'OMS, les recherches de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, du Comité supérieur d'hygiène publique de France, de la Direction générale de la Santé, de nombreuses études d'éminents scientifiques et conseils de santé européens et américains. Elle a en outre rencontré de nombreux témoins atteint par ces maladies.
L'aluminium n'est pas présent à l'état naturel dans notre corps. Et pourtant nous n'avons de cesse d'en ingérer. On en trouve dans notre alimentation (farine, biscuit ,lait en poudre), dans les produits cosmétiques (déodorants, crèmes solaires), dans de nombreux médicaments. Il est aussi utilisé dans le traitement de l'eau potable. Or de plus en plus de chercheurs signalent de manière alarmante les liens existants entre l'aluminium et de nombreuses maladies tel le diabète, les allergies, l'asthme, différents cancers, certaines maladies neuro-dégénératives comme la sclérose en plaque et la maladie d'Alzeihmer. Les médecins révèlent un véritable malaise sanitaire.
La majorité des vaccins et leurs adjuvants contiennent de l'aluminium. Il est aujourd'hui prouvé que son injection intra-musculaire est susceptible de provoquer fatigues chroniques, paralysies articulaires et musculaires, troubles cognitifs et psychiatriques aigus pouvant conduire au décès. L'aluminium colonise les organes, migre vers le cerveau où il s'accumule.
Que penser alors des vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux enfants français dont la totalité concentre plus de 9 mg d'aluminium alors que le seuil critique s'établit à 1,5 mg par dose ? Que penser de la campagne de vaccination contre l'hépatite B qui s'est déroulée entre 1994 et 1996, au cours de laquelle 21 millions de Français se sont faits vaccinés, et des cas cliniques avérés qui ont suivi ? Que penser du " syndrome de la guerre du Golfe ", dont souffre plus de 175 000 soldats, qui ne serait pas du aux gaz eux-mêmes, mais aux vaccins préventifs que ces hommes ont subis ?
L'auteur pose la question des responsabilités. Pourquoi aucune politique de santé publique globale n'est mise en place pour lutter contre ce fléau ? Le croisement de données impliquant des effets secondaires liés à l'aluminium reste relativement récent, le recoupement d'informations difficiles. Mais surtout les dissensions et polémiques entre chercheurs impliquent des intérêts économiques et politiques flagrants.
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